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De Douglas Kennedy
Dont j'ai terminé les 40 dernières pages en pleurant dans le train ( la honte! pour une fois que je délaisse ma voiture pour le train). Ce n'est pas que ce soit un bouquin à l'eau de rose, pas du tout même !
La particularité de l'écriture de Douglas Kennedy, outre la critique de l'amérique bien pensante, porte sur les questionnements que tout un chacun peut rencontrer, à un moment ou a un autre. Le tout sans être prise de tête pour autant. Ce bouquin a peut être bien particulièrement rencontré les miens, de questionnements. Au point de m'émouvoir grandement ! :-)
J'ai du mal à croire qu'un homme ait pu écrire de telles pensées, tant le ton est juste. Ou alors, dois-je reconnaitre que ma perception de l'homme est plus près du cliché "être binaire, capacité emotionnelle d'une petite cuillère" que d'une réalité peut être moins manichéenne et moins reductrice. Comme quoi, faut croire que la vie conjugale m'a noirci le tableau ?
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moi j'aime le rock and roll... le rock and roll !! .. c'est La Grande Sophie ! vue cet été au franco ! trop bien !
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